VOLER
Nicolas Dickner apporte à notre attention une enquête menée pour lister les 10 livres les plus souvent volés dans les librairies britanniques. C’est intéressant, mais moins intéressant qu’apprendre quels seraient les 10 livres les plus souvent volés au Québec. Nicolas Dickner compte se pencher sur cette question mais en attendant les résultats de sa très sérieuse enquête, j’y ai été de certains pronostics, juste pour la rigolade.
Attention, allergiques à l’absurdité, s’abstenir, vous pourriez être contaminés !
Règle générale :
Propension pour le vol du livre de poche ...
Peu de dictionnaire, surtout pas le visuel ...
Trois titres :
Comment perdre des livres sans en acheter
Comment être heureux sans dépenser
Comment remplir sa bibliothèque sans y aller
En tout cas, le geste de voler est simplifié pour du livre québécois, l'étal étant rarement à la vue dans nos librairies. Assez souvent discrètement offerte, la littérature québécoise. Il ne faudrait pas exagérer, des fois que certains penseraient même à en acheter !
C’était ma ligne éditoriale à la manière exagérée et absurde.
PIRATER
Le piratage, alors là, je ne blaguerai pas car certains n’entendent pas à rire avec la question.
Nicolas Dickner, toujours lui, ce quasi spécialiste du vol et du piratage (!) a pondu un billet sur le piratage « Livre électronique : pas assez de piratage ? » C’était une vraie question, pas seulement pour la forme. Il s’est fait parler, on dit apostropher, par un certain Serge-André Guay, président éditeur, Fondation littéraire Fleur de Lys qui lui a laissé un commentaire articulé. Ce dernier a demandé à Monsieur Dickner de bien vouloir se donner la peine de situer la question dans le contexte québécois, ce que le très accommodant chroniqueur s’est empressé de faire sous un nouveau et très complet billet intitulé, Livre piraté : et le Québec là-dedans ?
Si vous aimez vous tenir au courant de la situation du livre électronique, les chroniques touchent le sujet en général et au Québec, en particulier. Je ne vous vendrais aucun punch, je ne suis pas là pour ça, plutôt pour vous attirer vers l’odeur du punch. Ce que je peux en dire est de l’ordre de l’expérience personnelle, certaines maisons d’édition nous offrent maintenant le choix du format PDF, dans le cadre du service de presse auquel La Recrue a le droit de temps en temps. Faut dire que nous avons eu la bonne idée de le demander pour nos deux chroniqueurs en France, Caro(line), résidente permanente et Maxime, en résidence d’étudiant. Ce n’est pas toujours évident pour eux de recevoir les choix Recrue à temps.
RECYCLER
J’ai placé notre « premier de classe » en dernier. Il aura le dernier mot, euh, le dernier chiffre.
Plus d’une quarantaine de maisons d’édition québécoise recyclent!
ÉcoInitiatives s’est implanté au Québec en 2005, où environ 40% des livres canadiens sont imprimés. En 2007, il comptait déjà une vingtaine d’éditeurs québécois signataires et aujourd’hui, ils sont plus d’une quarantaine!Affirmation tirée du site Le Libraire et si vous voulez traduire ce sauvetage d’eau, de feuilles, d’arbres, d’énergie, de gaz en chiffres, Le Libraire nous les transmet généreusement.
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